Je commence les livres par la fin Et j’ai le menton haut pour un rien Mon œil qui pleure c’est à cause du vent Mes absences c’est du sentiment Je ne tiens pas debout Le ciel coule sur mes mains Je ne tiens pas debout Le ciel coule sur... Ca ne tient pas debout Le ciel coule sur mes mains Ca ne tient pas debout Sous mes pieds le ciel revient Ils sourient rouge et me parlent gris Je fais semblant d’avoir tout compris Il y a un type qui pleure dehors Sur mon visage de la poudre d’or Nous et la man on est de sortie Pire qu’une simple moitié on compte à demi-demi Pile sur un des bas côtés comme des origamis Le bras tendu paraît cassé tout n’est qu’épis et éclis Ces enfants bizarres Crachés dehors comme par hasard Cachant l’effort dans le griffoir Et une creepy song en étendard qui fait : « J’fais tout mon makeup au mercurochrome Contre les pop-ups qui m’assurent le trône »